Les démocraties occidentales et les communautés religieuses face à la détresse juive 1933-1940.
« Une œuvre impressionnante… on attend celles qui vont suivre avec le plus grand
intérêt »
Cahiers Bernard Lazare
« Son premier livre est d’autant plus saisissant qu’il ne porte aucun jugement, ne soutient aucune thèse et surtout n’escamote aucun tabou. Il livre des faits souvent méconnus du grand public, mais quelle passion contenue derrière les faits !.... A lire absolument. »
Françoise Buffat, jounaliste.
« La problématique est remarquablement bien présentée et étayée par des références impeccables. C’est une œuvre de politologue et d’historien qui mérite une large diffusion. »
André Lasserre, professeur d’histoire.
Quatrième de couverture:
Voici un livre concis et facile à lire sur une période cruciale du XXe siècle et de ses horreurs. Il précède deux volumes qui traiteront les périodes ultérieures de la tragédie juive jusqu’en 1945. S’appuyant sur la lecture de près de 150 ouvrages écrits à propos de cette période, l’auteur pose un regard neuf sur la question de la culpabilité élargie des démocraties occidentales. Tous coupables ? Certes non, mais davantage que ce que l’on croit et pas toujours là où certains le souhaiteraient.
Marc-André Charguéraud rouvre un certain nombre de dossiers comme par exemple la condamnation du régime hitlérien par Pie XI, la question des visas délivrés aux Juifs avant la guerre par les Etats-Unis et l’Angleterre, l’attitude des communautés religieuses en Allemagne dans les premiers temps du régime hitlérien.
A aucun moment on ne trouvera dans ce livre une invitation à relativiser le rôle de l’Allemagne hitlérienne dans sa politique d’extermination du peuple juif. Le propos de l’auteur est bien plutôt de souligner le risque mortel de la passivité.